Sur les hauts d’Essaouira

L’or d’Essaouira, c’est le vent.

Entre Safi et Essaouira, on longe la côte rocheuse qui surplombe un cordon de plaine fertile. A proximité d’Essaouira, on traverse de vastes forêts de thuyas.

La plaine côtière
La plaine côtière
Forêt de thuyas
Forêt de thuyas

Le vent à Essaouira est partout. On se le prend dans la figure lorsqu’on se promène sur la sqala de la ville ou celle du port. Il vous caresse la joue quand monté sur la terrasse, vous prêtez l’oreille pour saisir la rumeur de la mer. On le sent sous les ailes des goélands qui en usent pour survoler les ruelles de la médina.

Les terrasses
Les terrasses
Près de la sqala du port
Près de la sqala du port
Reflets
Reflets
Jonathan Livingstone
Jonathan Livingstone
Retour de la pêche
Retour de la pêche

La médina elle-même est très aérée, dont le plan et ses larges rues rectilignes ont été dessinés au 18ème siècle par Théodore Cornut. Les sqala constituent de larges promenades, de puissants balcons d’où la vue sur la mer ne rencontre aucun obstacle.

Vue de la sqala du port (passage obligé)
Vue de la sqala du port (passage obligé)
Vue de la sqala de la ville
Vue de la ville depuis la sqala 
Au spectacle 1
Au spectacle 1
Au spectacle 2
Au spectacle 2
Ce que nous regardions
Ce que nous regardions

Le port regorge de barques, de filets de pêche et de goélands, forme un trait d’union avec le large.

Le port d'Essaouira
Le port d’Essaouira
Jonathan est là lui aussi
Jonathan est là lui aussi
Et là aussi (sur la plage).
Et là aussi (sur la plage).

Essaouira, c’est une sensation bonifiante d’espace et une gorgée rafraîchissante d’azur infini.

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